Stage Juriste

Stage

Stage Juriste

Le CFCV est l’Association nationale pour les victimes de viols et d’agressions sexuelles. En charge des lignes d’écoute dédiées aux victimes de violence, l’association assure également des actions de formation professionnelle et de sensibilisation du grand public.

Type : Stage
Durée : 2 mois
Gratification : oui (minimale)
Transports : pass navigo ou velib 100%
Domaine de compétence principal : droit
Description de la mission

– Formation à l’écoute des victimes de viols et d’agressions sexuelles, Rédaction de fiches techniques juridiques concernant l’accompagnement et le conseil des victimes de violences sexuelles mineures et majeures, Synthèse de dossiers, Accompagnement aux missions d’expertise de l’association, participation aux tâches administratives.

Tout-e stagiaire est formé-e par l’association sur la prise en charge des victimes de violences sexuelles. Les stagiaires participent aux réunions d’équipe.

Nous accueillons des stagiaires toute l’année. 

 
Profil recherché
Étudiant-e en master 1 ou 2 de droit pénal ayant un intérêt pour combattre les violences faites aux femmes.
Stagiaire motivé-e, rigoureu-se, autonome tout en ayant le sens du travail en équipe.

Pour candidater merci d’envoyer par mail
votre CV et lettre de motivation (une page maximum par document)

Contact.cfcv@orange.fr

 

Pétition RELAXE POUR PRISCILLA MAJANI !

Pétition

PRISCILLA MAJANI A ÉCOPÉ DE 5 ANS FERMES ET 25 000 € D’AMENDE POUR AVOIR PROTÉGÉ SA FILLE CAMILLE

Signer la pétition

RELAXE POUR PRISCILLA MAJANI !

Malgré #MeTooInceste, il est encore plus facile de prouver, aux yeux de la justice, des NRE ( non représentation d’enfant), la fuite, la disparition plutôt que l’inceste, les agressions sexuelles et les violences intra-familiales. 

Et il a été plus aisé pour le tribunal correctionnel de Toulon de protéger un père, qu’une jeune fille et sa mère, malgré le dernier rapport de la #CIIVISE et de ses préconisations. 

La justice française aime les preuves pratiques, visibles, matérielles pour bien caractériser les faits. 
Et elle se contrefout des déclarations des enfants et des mères protectrices. Tout simplement parce que cela était plus compliqué, dans les prétoires, de croire les déclarations d’une enfant à l’époque, ado aujourd’hui. 
Plus compliqué, d’entendre une plaidoirie à qui on coupe délibérément le micro, d’instruire un certificat médical, et des signalements qu’un père sur parole qui crie à la victimisation. 

#PriscillaMajani, suite aux déclarations de viols, de sa petite fille Camille, a disparu en 2011, pendant 11 ans, fuyant et abandonnant tout, pour refuser de se plier à une décision de justice inique.

Pourtant, 11 ans après leur fuite en Suisse, Camille soutient sa mère Priscilla et accuse toujours son père.
Néanmoins, la justice française a condamné sa mère, Priscilla Majani, à 5 ans de prison ferme et 25.000 euros d’amende.

Quels violeurs, quels pédocriminels écopent d’une telle peine aujourd’hui ? 

Pour avoir tout quitté et avoir protégé sa fille, Priscilla Majani paie le prix fort de l’indécence judiciaire. 

Pourtant #CamilleChauvet s’est exprimée sans ambiguïté dans une lettre lue au tribunal de Toulon. 
( extraits) 

« Je l’ai d’abord dit à ma grand-mère, je l’ai ensuite dit à ma mère, je me souviens de son état de choc au moment où je lui parlais.”

“J’ai commencé à parler des choses moins graves, puis des abus sexuels. Ce dont je me souviens particulièrement avoir dit, c’est : “il a mis son zizi dans le trou des fesses”, car c’est à ça que les gens à qui je parlais étaient le plus choqués. J’ai été heureuse de pouvoir être entendue (par le tribunal). Mon père me disait toujours « ne parle à personne, sinon tu vas voir ce qui va arriver à ta mère. »

« Ma mère et moi sommes allées voir des policiers, je leur ai dit la même chose que ce que je disais à ma mère. Ce que je n’aimais pas chez le policier qui m’interrogeait, c’est qu’il rigolait quand je lui disais ce qu’il se passait. Il rigolait comme si je lui faisais une blague, comme si c’était drôle. Ce que je ressentais, c’est que je n’étais pas crue.(…) 

« Je me souviens avoir été énormément soulagée lors du départ. Je me suis sentie pour la première fois en sécurité. (…) Je n’ai jamais été oppressée ni contrainte de force à suivre ma mère. Si j’avais voulu retourner vivre chez mon père, j’aurais pu le faire depuis longtemps, or je n’en ai plus jamais eu envie, car mon père est une crainte pour moi. (…) Dans l’un des films (d’horreur que son père demandait à Camille de regarder), une femme se faisait couper la tête, et il me disait que si je parlais (de tout ce qu’il me faisait), c’est ce qui arriverait à ma mère. Je me souviens d’une fois où il a tenté de lui faire du mal en voulant la blesser avec une voiture. Dans mes souvenirs elle se trouvait allongée sous la voiture, et lui m’a mis sur le siège arrière en menaçant  qu’il allait démarrer. »

Camille s’en prend également à la justice de Toulon. « Pour moi, la justice qui a traité cette affaire il y a onze ans n’a pas effectué son travail et n’a pas été juste. J’aurais voulu être crue, tout comme ma maman qui m’a crue quand je lui ai révélé les crimes commis par mon père. (…) La justice française n’a pas été capable d‘appliquer une vraie justice. (…) Que l’on accuse ma mère de menteuse est incompréhensible pour moi. C’est moi qui lui ai parlé des horreurs commises par mon père, je me souviens de ces moments. Je sais que tout ce que j’ai dit il y a onze ans est véridique. (…) Je ne comprends pas pourquoi la justice décide de fermer les yeux sur ça, en considérant que ma mère a commis un crime, dans le but de me protéger avant tout, alors que les crimes de mon père sont bien plus graves.

« J’espère très fortement qu’elle va être reconnue innocente et qu’elle va être libérée. Je souhaite pouvoir vivre avec elle, ici en Suisse, et retrouver un mode de vie normal à ses côtés.

Aussi, je refuse de devoir revoir #AlainChauvet, et de retourner vivre avec lui ».

Encore une fois, la justice française a encore fait preuve de cécité : Priscilla Majani est lourdement condamnée. 
Maigre réconfort : Camille a 17 ans, et a fait le choix de ne pas retourner chez son père. Mais combien d’enfants y sont contraints par décision de justice ? 

Signez cette pétition pour soutenir les mères protectrices et dénoncer l’impunité des pères incestueurs.
Saisissons-nou-e-s de cette affaire pour faire pression sur le système judiciaire en appel. 

Invoquons le principe de précaution dès qu’une plainte est déposée dans l’intérêt supérieur de l’enfant. 

SUPPORT PRISCILLA ET CAMILLE ! 
STOP À L’INDÉCENCE JUDICIAIRE ! 
DE-SAP-ONS LA JUSTICE !

✏️ ✉️ Mme Priscilla Majani
Écrou 203653 
Centre Pénitentiaire des Beaumettes 
239 Chem. de Morgiou
13009 Marseille

� Explications en vidéo : 
https://m.facebook.com/story.php?story_fbid=10159708263901839&id=748766838

https://www.bfmtv.com/var/toulon-prison-ferme-pour-priscilla-majani-jugee-pour-l-enlevement-de-sa-fille_AV-202209160477.html

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Relai Etude VIGYN : Appel à témoignages – Suivi gynécologique de femmes victimes de violences sexuelles

Appel à témoignages - Etude VIGYN

Dans le cadre d’une thèse de santé-publique menée par une sage-femme doctorante, nous recherchons des femmes victimes de violences conjugales ou sexuelles qui accepteraient de répondre à des questions relatives à la santé gynéco-obstétricale et au suivi gynécologique.
Les entretiens seront analysés de manière anonyme. Ils pourront se dérouler en face à face (en région parisienne), par téléphone ou en visio.
Pour tout complément d’information, vous pouvez contacter le mail suivant : etudevigyn@gmail.com.
En vous remerciant, par avance, de l’intérêt porté à cette étude.

Après un viol, parler c’est commencer à se reconstruire

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Violences sexuelles dans l’enfance – Appel à témoignage

Appels à témoignages
« Violences sexuelles dans l’enfance – 0 805 802 804 »

 

Vous êtes majeur-e. Vous avez été victime dans l’enfance
et votre mère a essayé de vous protéger, mais elle a rencontré des obstacles : racontez-nous.

Témoignez sur la ligne d’écoute « Violences sexuelles dans l’enfance » au 0 805 802 804.

Après un viol, parler c’est commencer à se reconstruire.

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Appel à témoins – Agressions sexuelles ou viols par un entraîneur ou responsable évoluant dans le milieu du football en Ile de France

Appel à témoignages - Agressions sexuelles ou viols par un entraîneur ou responsable évoluant dans le milieu du football en Ile de France

Vous avez été victime d’agressions sexuelles ou de viols commis par un entraîneur ou responsable évoluant dans le milieu du football en Ile de France ?

Vous n’êtes peut-être pas le-la seul-e.

Appelez-nous au 0 800 05 95 95

Après un viol, parler c’est commencer à se reconstruire

Pour les personnes qui souhaitent témoigner
vous pouvez appeler sur le 0.800.05.95.95, Viols-Femmes-Informations
un numéro national anonyme et gratuit, du lundi au vendredi, de 10h à 19h.

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