Interpellation des associations sur la proposition de loi n°819

Collectif abolition

Madame, Monsieur,

Le 21 janvier dernier, la proposition de loi n°819 a été déposée à l’Assemblée nationale. Elle vise à instaurer la résidence alternée par défaut pour les enfants en cas de désaccord entre les parents lors d’une séparation, dans l’objectif affiché de garantir des liens équilibrés avec chacun d’eux. Ensemble, nos associations rappellent que la priorité absolue doit être la protection des enfants et la prise en compte des violences dans toute décision judiciaire relative à la résidence. Cette proposition de loi ne permettrait pas de tenir compte des inégalités persistantes dans la répartition des tâches parentales, ni de prendre en considération les violences conjugales, intrafamiliales et incestueuses, qui restent des phénomènes de grande ampleur.

  • La proposition de loi ne tient pas compte des inégalités persistantes

Si l’intention de cette proposition est justifiée au nom de l’égalité parentale et d’une “coparentalité effective”, elle se heurte, en pratique, à une inégalité systémique : l’égalité formelle, introduite par la loi de 2002, ne se traduit toujours pas en véritable égalité réelle entre les parents. En réalité, la résidence principale des enfants est majoritairement accordée aux mères en conformité avec le souhait des parents. La décision du juge sur la résidence des enfants correspond à la demande des deux parents dans 83 % des cas de divorce. Dans les faits, seulement 1 père sur 5 demande la garde alternée. Être obligé par la loi ne fait pas un bon père. Une systématisation de la résidence alternée, imposée sans évaluation individuelle, pourrait avoir des conséquences graves sur le bien-être et l’épanouissement des enfants. Aujourd’hui, les dispositions légales en vigueur permettent déjà aux Juges aux Affaires Familiales de proposer la résidence alternée lorsqu’elle est adaptée. En cas de désaccord entre les parents, la proposition de loi n°819 ferait peser sur celui qui conteste ce mode de garde, la charge de prouver qu’il est contraire à l’intérêt de l’enfant. Ce renversement de la charge de la preuve est non seulement dangereux, mais il va à l’encontre du principe même qu’il prétend défendre : l’intérêt supérieur de l’enfant. Il est nécessaire que les juges puissent continuer à se prononcer au cas par cas, en tenant compte de l’ensemble des paramètres et des spécificités de chaque situation. La systématisation d’un tel régime ferait primer les droits parentaux sur les besoins fondamentaux des enfants. Elle véhiculerait également une vision réductrice de la famille centrée sur la présence du père, tout en stigmatisant les familles monoparentales et homoparentales.

  • Mise en danger des victimes de violences

Cette obligation met directement en danger les femmes et les enfants victimes de violences conjugales, intrafamiliales et incestueuses. Il est essentiel d’exclure dans tous les cas la possibilité d’une résidence alternée ou d’une résidence principale des enfants chez un parent violent. Or, la proposition de loi n°819 ne prévoit aucune disposition en ce sens. Nous considérons que cette mesure représente un danger majeur. Maintenir un lien parental par principe, en cas de violences incestueuses, revient à ignorer les traumatismes spécifiques des enfants victimes, à nier leur parole et à prolonger l’emprise de l’agresseur. Aujourd’hui encore, de nombreux enfants sont contraints de côtoyer leur agresseur dans le cadre de droits de visite imposés, au nom d’une coparentalité déconnectée de la réalité des violences. En généralisant la garde alternée, cette proposition accroît les risques de revictimisation, d’invisibilisation des violences sexuelles et de maintien de l’impunité. Les violences intrafamiliales, et plus encore l’inceste, constituent des motifs graves justifiant la suppression immédiate de tout contact entre un enfant et un parent violent. Aucun enfant ne devrait être contraint d’entretenir une relation avec un parent présumé agresseur, un lien déjà rompu par le crime d’inceste. En cohérence avec les recommandations de la CIIVISE, nous appelons à un rejet clair et ferme de cette proposition qui nie la réalité des violences sexuelles et intrafamiliales, et fait primer les droits parentaux sur la sécurité et la parole des victimes. Dès lors, ce texte de loi ne répond pas à son objectif affiché de garantir l’intérêt supérieur des enfants. Au contraire, il risquerait d’exacerber les inégalités entre les parents et de mettre en danger les femmes et les enfants victimes de violences. Nous nous tenons à votre disposition pour toute information complémentaire concernant leurs argumentaires respectifs.

Nous vous prions de recevoir, Madame, Monsieur, l’expression de nos salutations distinguées.

 

Associations signataires :
La Fédération nationale Solidarité Femmes
Face à l’inceste
#NousToutes
Collectif Féministe Contre le Viol
Le planning familial
La Fédération national des CIDFF
La Clef
L’Amicale du Nid
Femmes Solidaires
Parents & Féministes
Osez le féminisme
Caméléon

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[Relais – Lettre ouverte] – Lettre de professionnelles travaillant en Ephad inquiètes de la réintégration du Docteur Jean-Phillippe Sicard.

Le 01/04/2025

Madame, Monsieur,

Le 8 mars à Ajaccio les gens et les politiques ont marché contre la Mafia et l’Omerta. Tout le monde a fêté les droits des femmes contre la violence. Par contre ces mêmes personnes qui s’insurgent avec raison contre ces problèmes, protègent les criminels en blouse blanche.

Le docteur Jean – Philippe Sicard qui avait abusé d’une de ses patientes (condamnation par un tribunal) et qui a notoirement des problèmes avec le sexe féminin et l’alcool, tellement que plus personne n’allait le consulter dans son cabinet, a été recasé à l’union des mutuelles de santé de corse. Il travaille dans les Ehpad de Cargese, de Cauro et de Levie avec un salaire très confortable et en plus une voiture de fonction. ll faut bien récompenser le bon docteur. …Le pauvre.

Les résidentes, les employées, ça ne compte pas.

Les directeurs de l’UMCS protègent un violeur et en plus le mettent avec nos anciens et des dizaines de salariées comme si c’était tout a fait normal.

Pourquoi on l’a pas pris ailleurs ?

Tout le monde est complice même les tutelles. Après, s’il arrive quelque chose, on fera la marche blanche ou on étouffera encore l’affaire. Ce sera qu’une femme un peu folle ou une vieille qui a perdu la tête.

Peut-être que les familles si elles le savent ne laisserons pas passer.

Les professionnelles de ses Ehpads sont inquiètes.

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[Communiqué de presse] Pourquoi les victimes de l’affaire French Bukkake ont décidé d’aller en Cassation : Un déni de réalité pour un déni de justice.

Le 11 avril, est sorti le livre Sous nos regards : Récits de la violence pornographique
dans lequel 15 autrices recueillent les témoignages de 16 plaignantes des affaires dites
“French Bukkake” et “Jacquie et Michel”. Elles y dénoncent les sévices extrêmes endurés :
viols collectifs, actes de torture et de barbarie, humiliations racistes et sexistes,
manipulation, séquestration, et diffusion publique de leurs viols. Longtemps réduites au
silence, elles s’imposent désormais dans l’espace public au prix d’un courage inouï.

Pourtant, face à l’institution judiciaire, leur parole continue d’être niée : quatre ans
après les premières mises en examen, la chambre de l’instruction a ordonné le renvoi
de 16 pornocriminels pour viols aggravés, proxénétisme et traite des êtres humains
tout en refusant la qualification d’actes de torture et de barbarie et les circonstances
aggravantes de sexisme et de racisme. En outre, elle a interprété de manière bien trop
restrictive l’infraction de proxénétisme. Les motivations de la chambre de l’instruction
sont scandaleusement biaisées par la culture du viol et par la misogynie, ce qui est
frontalement contraire aux droits garantis par la Convention Européenne des Droits
de l’Homme (CEDH).

L’enquête révèle :
Des actes de torture et de barbarie : Les plaignantes ont été victimes de violences sadiques
et déshumanisantes. Soumises à des dizaines de pénétrations buccales, vaginales et
anales, frappées, insultées, étouffées jusqu’aux larmes, elles ont perdu tout contrôle de leur
corps. Submergées par un sentiment de mort imminente, ces sévices parfois infligés sur
plusieurs jours ont laissé des séquelles physiques et psychotraumatiques importantes. La
plupart ont été piégées, manipulées, séquestrées, droguées ou alcoolisées, après avoir été
soumises à des viols d’abattage.

1Citation de Noëlie : “Mon avocate a compté le nombre de fois où j’ai été pénétrée et c’est au
nombre de 242. Je pense que 242 pénétrations sont physiquement intenables pour
n’importe quel corps humain. Donc on ne peut pas dire aujourd’hui que ce n’est pas de la
torture ni de la barbarie. Il y a une intention de faire du mal à un corps humain, et là en
l’occurrence aux femmes.”

Citation d’Émilie : “On a été étouffées. On a été droguées, alcoolisées pour d’autres. Il y a
de la menace, des insultes, de la séquestration, on nous a gardé de force.”

Des humiliations sexistes et racistes : Les accusés les ont abreuvées d’insultes racistes et
sexistes avant, pendant et après les viols : “beurette”, “vide-couilles”, “salope”, “chintok” –
dans un climat d’humiliation permanente.

Du proxénétisme et de la traite : sans scénario ni contrat de travail, ces femmes ne sont pas
des “actrices”, mais des victimes de violences sexuelles. Ces actes tarifés, diffusés en ligne
au profit des pornocrates, relèvent pleinement du proxénétisme.

Citation d’Émilie : “Nous ne sommes en aucun cas des actrices. Nous avons été piégées.
(…) Nous sommes du gibier.”

Après plusieurs reports, la cour d’appel refuse en février 2025 de requalifier les faits,
allant jusqu’à réduire les charges d’un des accusés à du “travail dissimulé”. Les juges
considèrent que les violences ne relèvent pas de la torture car selon eux, les victimes
étaient “volontaires” et n’ont pas eu de “blessure distincte délibérément infligée” car les
“scènes” étaient “limitées dans le temps”. Un raisonnement sexiste appliquant le victim
blaming. La cour retient que la consommation de drogues ou d’alcool par les victimes aurait
atténué leur douleur et l’utilise pour minimiser la gravité des faits au lieu de comprendre qu’il
s’agit d’une stratégie de soumission chimique employée par les agresseurs. Quant aux
circonstances aggravantes de sexisme et de racisme, elles sont balayées au motif qu’elles
n’auraient pas porté atteinte à “l’honneur” des plaignantes. Pire encore, la cour minimise les
viols et les violences en reprenant le vocable de l’industrie pornographique : les viols
deviennent des “scènes”, les victimes des “actrices”, les agresseurs des “acteurs” exécutant
le script d’un “réalisateur” pour du “cinéma”, une “œuvre cinématographique” ! Cette
terminologie n’est pas neutre : elle épouse pleinement le récit des pornocrates conçu
pour invisibiliser les violences sexuelles. Ce n’est pas de l’impartialité, c’est une
complicité idéologique.

Citation de Chloé : “Aujourd’hui la justice refuse de qualifier ces faits-là et minimise
complètement ce que l’on a subi. Il faut que la justice soit impartiale, non misogyne, qu’elle
ne juge pas ce dossier dans la peau d’un consommateur de pornographie, et aujourd’hui, je
pense personnellement que c’est le cas.”

En refusant de qualifier ces faits pour ce qu’ils sont, il permet que l’affaire soit jugée non pas
par une cour d’assises composée d’un jury populaire, mais par une Cour Criminelle
Départementale (CCD). Ce choix réduit la portée du procès, diminue le niveau de gravité
reconnu des faits, et prive les victimes de la reconnaissance qu’elles méritent.

Citation de Pauline : “On a un procès au rabais.”

Face à ce déni de justice, nous ne pouvons pas nous taire ! Il ne s’agit pas seulement
d’un scandale judiciaire, mais de tout un système qui protège les agresseurs au
détriment des victimes.

1 Toutes les citations sont tirées de Médiapart : Émission à l’air libre du 10 avril 2025.

 

ÉLUES SIGNATAIRES :

Hélène Bidard, Maire adjointe PCF à la Maire de Paris en charge de l’égalité femmes-hommes, de la jeunesse et de l’éducation populaire

Laurence Cohen, Sénatrice (2011-2023), Co-rapportrice de la mission d’information sénatoriale “Porno : l’enfer du décor”

Laurence Rossignol, Sénatrice PS, Co-rapportrice de la mission d’information sénatoriale “Porno : l’enfer du décor”

Eva Sas, Députée EELV

Céline Thiébault Martinez, Députée PS

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[Extrait de l’article Médiapart] – « La redéfinition pénale du viol en débat à l’Assemblée : révolution ou illusion ? »

Publié le 01/04/2025, Sarah Brethes.

 

« Le respect du consentement, tout le monde est, a priori, pour. Mais l’introduction de cette notion dans le Code pénal, débattue mardi à l’Assemblée, permettra-t-elle de changer la donne en matière de répression des violences sexuelles ? Le débat divise juristes, militantes et chercheuses.

 

Article à retrouver en intégralité ici.

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Extrait de la tribune Le Monde – « Le viol n’est pas une pénétration non consentie, mais imposée »

Publié le 01/04/2025.

 

« Dans une tribune au « Monde », les féministes Emmanuelle Piet et Ernestine Ronai appellent les députés à revoir la définition légale du viol, afin que la charge de la preuve ne soit plus essentiellement portée par la victime : en l’état actuel, le projecteur est placé sur son consentement – ou son absence de consentement – plutôt que sur l’acte commis par l’agresseur. »

 

Article à retrouver en intégralité ici.

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Emanuelle Piet, présidente du Collectif Féministe Contre le Viol, dans la série documentaire “Femmes des années 2020”

Emmanuelle Piet, présidente du Collectif Féministe Contre le Viol, a participé à la série documentaire « Femmes des années 2020 » ViSeO Production.

Descriptif du documentaire : « Ce documentaire en 8 épisodes croise les témoignages de onze personnalités qui s’engagent au quotidien, offrant un panorama transgénérationnel unique de la situation d’une partie des femmes aujourd’hui en France.

FemmeS des AnnéeS 2020 aborde ainsi des sujets comme l’IVG, les violences sexuelles et sexistes, la domination patriarcale, l’émancipation des femmes, la condition féminine dans le monde du travail, la charge mentale dans le couple ou encore l’éco-féminisme.

Pour évoquer le chemin parcouru et les défis restant à relever, ViSeO Production a donc sciemment choisi de donner la parole à celles qui, au jour le jour, subissent mais aussi agissent pour faire évoluer la situation. »

 

Emmanuelle Piet, interviewée par le média Period Studio dans le cadre de la promotion de la série documentaire. 

 

 

 

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