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Mise à jour le 10 novembre 2022
Le viol (article 222-23 code pénal) : puni de 15 ans de réclusion criminelle
La peine est portée à 20 ans de réclusion criminelle :
Portée à 30 ans de réclusion criminelle :
Le viol seuil d’âge et le viol incestueux (article 222-23-1 et article 222-23-2 du code pénal) : punis de 20 ans de réclusion criminelle
La peine est portée à 30 ans de réclusion criminelle :
Portée à réclusion criminelle à perpétuité :
Les mutilations sexuelles (article 222-9 du code pénal) : punies de 10 ans d’emprisonnement et 150 000€ d’amende
Portée à 15 ans de réclusion criminelle lorsqu’elle est commise :
Les agression sexuelle (article 222-27 du code pénal) : punies de 5 ans d’emprisonnement et 75 000 € d’amende
La peine est portée à 7 ans d’emprisonnement et 100 000€ d’amende :
Les agressions sexuelles sur personne vulnérable (article 222-29 du code pénal) : punies de 7 ans d’emprisonnement et 100 000€ d’amende
Portée à 10 ans d’emprisonnement et 150 000€ d’amende :
Les agressions sexuelles sur mineurs de 15ans par violence, menace, contrainte, ou surprise (article 222-29-1 du code pénal) : punies de 10 ans d’emprisonnement et 150 000€ d’amende
Pas de circonstance aggravante
Agressions sexuelles seuil d’âge (article 222-29-2 code pénal) : punies de 10 ans d’emprisonnement et 150 000€ d’amende
Pas de circonstance aggravante
Agression sexuelle incestueuse (article 222-29-3 code pénal) : punies de 10 ans d’emprisonnement et 150 000€ d’amende
Pas de circonstance aggravante
L’atteinte sexuelle sur mineur de 15 ans (article 227-25 du code pénal) : punie de 7 ans emprisonnement et 100 00€ d’amende
Portée à 10 ans d’emprisonnement et 150 000€ d’amende :
L’atteinte sexuelle sur mineur de plus de 15 ans (article 227-27 du code pénal) : punie de 5 ans d’emprisonnement et 45 000€ d’amende
Pas de circonstance aggravante
Le harcèlement sexuel (article 222-33 du code pénal) : puni de 2 ans d’emprisonnement et 30 000€ d’amende
Portée à 3 ans d’emprisonnement et 45 000 € d’amende lorsqu’il est commis :
La discrimination (article 225-1 code pénal) : punie de 3 ans d’emprisonnement et 45 000€ d’amende
Pas de circonstances aggravantes
L’exhibition sexuelle (article 222-32 du code pénal) : 1 an d’emprisonnement et 15 000 € d’amende
Portée à 2 ans d’emprisonnement et 30 000€ d’amende :
L’administration de substance afin de commettre viols ou AGS (article 222-30-1 code pénal) : punie de 5ans d’emprisonnement et 75 000€ d’amende
Portée à 7 ans d’emprisonnement et 100 000€ d’amende :
La pédopornographie (article 227-23 du code pénal) : punie de 5 ans ou 7 ans d’emprisonnement et 75 000€ d’amende
Portée à 7 ans d’emprisonnement et 100 000 € d’amende :
Portée à 10ans d’emprisonnement et 500 000€ d’amende :
L’exposition d’un mineur à la pornographie (article 227-24 du code pénal) : punie de 3 ans d’emprisonnement et 75000€ d’amende
Pas de circonstance aggravante
La corruption de mineur (article 227-22 code pénal) : punie de 5 ans d’emprisonnement et 75 000€ d’amende
Portée à 7ans d’emprisonnement et 100 000€ d’amende :
Portée à 10 ans d’emprisonnement et 150 000€ d’amende :
Portée à 10 ans d’emprisonnement et 1 million € d’amende :
La proposition sexuelle à un mineur de 15 ans (article 227-22-1 du code pénal) : punie de 2 ans d’emprisonnement et 30 000€ d’amende
Portée à 5 ans d’emprisonnement et 75 000€ d’amende :
La provocation à une mutilation sexuelle – non suivie d’effet (article 227-24-1 du code pénal) : punie de 7ans d’emprisonnement et 100 000€ d’amende
Pas de circonstance aggravante
La provocation à commettre un viol – non suivie d’effet (article 222-26-1 du code pénal) : punie de 10 ans d’emprisonnement et 150 000€ d’amende
Pas de circonstance aggravante
La provocation à commettre une agression sexuelle – non suivie d’effet (article 222-30-2 code pénal) : punie de 5 ans d’emprisonnement et 75 000€ d’amende
Portée à 7ans d’emprisonnement et 100 000€ d’amende :
Le « Revenge Porn » (article 226-2-1 code pénal) : puni de 2 ans d’emprisonnement et 60 000€ d’amende
Pas de circonstance aggravante
La diffusion image de violence (article 222-33-3 du code pénal) : punie de 5 ans d’emprisonnement et 75 000€ d’amende
Pas de circonstance aggravante
Le proxénétisme (article 225-5 du code pénal) : puni de 7 ans d’emprisonnement et 150 000€ d’amende
Portée à 10 ans d’emprisonnement et 1 500 000€ d’amende lorsque l’infraction est commise :
Portée à 20 ans de réclusion criminelle et 3 000 000 € (devient un crime) :
Portée à la réclusion perpétuelle à perpétuité et 4 500 000 € (devient un crime) :
Le recours à la prostitution des mineurs ou des personnes vulnérables (article 225-12-1 du code pénal) : puni de 5 ans d’emprisonnement et 75 000€ d’amende :
Portée à 7 ans d’emprisonnement et 100 000€ d’amende :
Le mariage forcé (article 222-14-4 code pénal) : puni de 3 ans d’emprisonnement et 45 000€ d’amende
Pas de circonstance aggravante
Voyeurisme (article 226-3-1 du code pénal) : puni d’1 an d’emprisonnement et 15 000€ d’amende
Portée à 2 ans d’emprisonnement et 30 000€ d’amende :
Le bizutage (article 225-16-1 code pénal) : puni de 6 mois d’emprisonnement et 7 500€ d’amende
Portée 1 an d’emprisonnement et 15 000 € d’amende :
L’incitation par un moyen de communication électronique d’un mineur à commettre un acte de nature sexuelle (article 227-22-2 code pénal) : puni de 7 ans d’emprisonnement et 100 000€ d’amende
Portée à 10 ans d’emprisonnement et 150 000€ d’amende :
Portée à 10 ans d’emprisonnement et 1 million€ d’amende :
La sollicitation d’un mineur pour la diffusion ou transmission d’images porno (article 227-23-1 du code pénal) : punie de 7 ans d’emprisonnement et 100 00€ d’amende.
Portée à 10ans d’emprisonnement et 150 000€ d’amende :
Portée à 10ans d’emprisonnement et 1 million € d’amende :
L’Injure publique à caractère sexiste (loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse) : 12 000 € d’amende (pour l’injure publique en général)
Portée à 45 000€ d’amende et un an d’emprisonnement :
Portée à 3 ans d’emprisonnement et 75 000€ d’amende :
L’outrage sexiste (621-1 code pénal) : contravention de 4eme classe
Le recours à la prostitution (article 611-1 du code pénal) : amende prévue pour les contraventions de 5ème classe.
Pas de circonstance aggravante
Viols Femmes
Informations
Trouvez de l'aide au
0 800 05 95 95
Anonyme et gratuit, y compris depuis les portables.
Du lundi au vendredi, de 10h à 19h
Violences Sexuelles
dans l'Enfance
Témoignez au
0 805 802 804
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Nous marcherons ensemble le 20 novembre contre toutes les violences sexistes et sexuelles !
Depuis de nombreuses années, autour du 25 novembre, journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes et aux filles, nos associations manifestent pour être entendues de la société et des responsables politiques. Nous y avons toujours affirmé que les violences masculines s’inscrivent dans un continuum : violences conjugales qui peuvent être physiques, sexuelles, psychologiques, ou économiques, harcèlement, agressions sexuelles, viols, prostitution, mutilations sexuelles, discriminations diverses en raison du sexe, jusqu’aux féminicides. Elles ont des causes communes, au premier rang desquelles le sexisme et la culture du viol qui doivent être combattues ensemble.
C’est la raison pour laquelle nous marcherons ensemble le 20 novembre contre toutes les formes de violences, et notamment contre tout achat d’actes sexuels. La prostitution est une violence sexiste et sexuelle, et sa disparition une condition pour atteindre l’égalité entre les femmes et les hommes. Nous assumons pleinement cette analyse féministe qui repose sur notre action depuis des dizaines d’années auprès des victimes de violences sexistes et sexuelles. Nous luttons contre le système prostitueur, qui n’existe que parce que des hommes achètent des actes sexuels à des femmes (très majoritairement) et des enfants. Et nous luttons avec et aux côtés des personnes prostituées.
Depuis quelques années, il est devenu difficile, parfois dangereux, de dénoncer le système prostitueur. Les intimidations, menaces ou violences commises à l’encontre de survivantes de la prostitution ou de militant·e·s abolitionnistes au sein même des cortèges lors des manifestations sont inacceptables. Elles doivent être dénoncées par toutes les militant·e·s féministes, quelle que soit leur position sur le sujet de la prostitution. Elles doivent également être anticipées et empêchées par les organisatrices des manifestations à Paris et dans toute la France.
Nous marcherons le 20 novembre contre toutes les violences sexistes et sexuelles et vous invitons à nous retrouver dans toutes les villes de France.
À Paris, nous nous retrouverons au sein du cortège abolitionniste dès 13h30 au 13 Place de La République (devant la boutique Camaïeu) pour un départ de la marche #NousToutes prévu à 14h.
Retrouvez plus d’informations sur la manifestation ici.
Signataires :
Nos associations accompagnent au quotidien les victimes de violences sexistes et sexuelles et luttent contre ces violences :
La Fédération nationale solidarité femmes, regroupe 73 associations issues du mouvement féministe qui accueillent et hébergent les femmes victimes de violences et a créé et gère le numéro d’appel 3919.
La Fédération nationale des centres d’informations sur les droits des femmes et des familles regroupe 104 centres départementaux pour informer, orienter et accompagner en priorité les femmes sur leurs droits notamment en matière de lutte contre les violences sexistes.
Le Collectif Féministe Contre le Viol a créé et assure la permanence téléphonique nationale Viols-femmes-informations (0800 05 95 95) qui propose aux personnes qui ont subi des violences sexuelles une écoute, un soutien solidaire et des informations pour les démarches qu’elles veulent entreprendre. Le CFCV gère également la ligne violences sexuelles dans l’enfance (0805 802 804).
Le Mouvement du Nid, association nationale présente dans 26 départements, aux côtés des personnes prostituées, lutte contre les causes et les conséquences de la prostitution à travers ses actions de rencontre sur les lieux de prostitution, d’accueil et d’accompagnement inconditionnel.
Amicale du Nid, association nationale impliquée dans 15 départements : prévention, sensibilisation, formation, “aller-vers », accueil, accompagnement social global, insertion socio-professionnelle, appui juridique, hébergement et logement accompagné.
Osez le féminisme ! agit dans 26 départements et à l’échelle nationale pour élever le niveau de féminisme dans la société et contribuer à faire progresser les droits des femmes et l’égalité femmes-hommes dans les mentalités et dans les faits.
L’Assemblée des Femmes est une association féministe universaliste, abolitionniste, laïque, antiraciste, antisexiste, antipatriarcale et anti dominations croisées présidée par Laurence Rossignol, sénatrice de l’Oise et ancienne ministre des Droits des femmes et née en 1992 du combat pour la parité en politique.
Femmes solidaires, mouvement féministe, laïque et d’éducation populaire, agit dans tous les territoire pour lutter contre les violences faites aux femmes et pour l’universalité de leurs droits. Nous nous adressons à toutes les femmes qui veulent défendre leurs droits et leur liberté en leur permettant de devenir actrice et d’oser une parole.
Atelier pancartes : Osez le Féminisme vous invite vivement à les retrouver dans leur local dès la veille au soir (vendredi 19 novembre à partir de 19:30) pour préparer le cortège (élaboration de pancartes, chants, slogans féministes, ….), tout cela autour d’un apéro sorore et militant !
Inscrivez-vous à l’atelier de vendredi soir ici !
Le CFCV relaie cette campagne contre la prostitution des mineur.e.s de l’Amicale du Nid.
Après leur site internet jenesuispasavendre.org/, l’Amicale du Nid lance le compte Instagram associé @je_ne_suis_pas_a_
Parce que le confinement peut être anxiogène, propice aux questionnements et inquiétudes de toute sorte mais
qu’il peut aussi être l’occasion de réfléchir tous.tes ensemble ;
Parce qu’en cette période, les réseaux sociaux restent, sans aucun doute, le premier moyen pour les jeunes
d’être en contact avec leurs pairs et de s’informer ;
Parce que les violences sexistes et sexuelles, en particulier dans le contexte intrafamilial, ne s’arrêtent pas avec
le Covid19 : elles tendent à s’aggraver lorsque les victimes sont enfermées avec leurs agresseurs ;
Parce que, sous la pression des « clients » et des proxénètes, la prostitution ne cesse pas avec l’épidémie : il
semblerait qu’elle se reporte encore davantage sur Internet ;
« Je n’suis pas à vendre ! » est sur Instagram à partir du 21 avril 2020.
« Je n’suis pas à vendre ! » parle de relations filles-garçons, de sexualité, de la prostitution comme forme de violence sexiste et sexuelle.
« Je n’suis pas vendre ! »est un projet de :
– Prévention via Internet de la prostitution, du proxénétisme et de la traite, à destination des jeunes de 14 à 18 ans ;
– Outillage des professionnel.les de l’éducation, de la jeunesse et de la protection de l’enfance.
Rendez-vous ici pour télécharger ou commander les affiches, cartes et stickers de la campagne.